Commerces en difficulté, on vous l’avait dit!

23/03/2023 A de nombreuses reprises, HTN a cherché à attirer l’attention du Maire sur la problématique du commerce de centre-ville et des travaux dans le triangle d’or (voir ci-dessous). A chaque fois la réponse de M. Giran a été la même : nous n’avons reçu aucune récrimination de la part des commerçants et les chiffres des commerces vacants sont bons. Pour le roi du béton, tout va très bien madame la marquise et circulez y a rien à voir! Mais la réalité s’affiche maintenant aux yeux de tous, l’activité commerciale à Hyères centre est en très grande souffrance. On sait aussi que sécurité et propreté favorisent l’envie de consommer. Hélas, les priorités municipales sont ailleurs.

Extraits de nos interventions sur ce sujet :

Le 3/02/2023 dans Vivre Hyères 192

HTN a dit «  les difficultés des commerçants exsangues, étranglés par des travaux sans réelle concertation »

Le 16/11/2022 dans Vivre Hyères 191

HTN a dit «Que dire aussi de l’absence de réflexion pour le commerce de centre-ville au bord de la dépression après 2 ans de COVID et maintenant avec 2 ans de chantier programmé. Avec la crise actuelle, mettons en place une vraie politique volontariste dans ce domaine. Au lieu d’attirer des établissements controversés, il faut assurer les fondamentaux propreté/sécurité/stationnement et être stratégique en recherchant un équilibre entre commerces de bouche et implantation d’enseignes de qualité en proposant des aides aux baux commerciaux dégressives. Sur ce point aussi, tout reste à faire et il y a urgence ! »

Le 27/10/2022 en conseil municipal

HTN a dit « Le commerce de centre-ville est au bord de la dépression. Les commerçants sont à bout de souffle après 2 ans de covid et maintenant avec 2 ans de travaux avec la rénovation Gambetta/Iles d’Or pour un projet peu novateur et qui ne prévoit même pas de pistes cyclables. »

Le 10/09/2021  dans Vivre Hyères 185

HTN a dit « Le centre-ville où le nombre de rideaux baissés ne se compte plus est moribond et désert . La requalification de la place Clemenceau (pour rappel 14 millions d’euros) pourtant pompeusement qualifiée de « the place to be » n’ayant entrainé aucune des retombées économiques promises.